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sciences ??
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sciences ??
Lol y a rien ici alors rahna 3arfinek ze3ma a sahbi chdid donc ach katssenna bali on veut des sujets rapidement LooooooooooooooooL
Re: sciences ??
hhhhhhhhhhhhhhh oui incha2alah j'espere que vous aller m'aide dans ce coin la hhhhhhhhhhhh
La science
Bein Makayn lli ghadi y3awnek 9ad rassek A ibrahim rak chdid ze3ma f science :D:D c'est يونس
Re: sciences ??
haha lol ! bein alors c'est qui vais commencer ^^
b9aw darbou temma . =P
Bon , Il y a un an et en utilisant aussi un laser, Chunlei Guo, chercheur à l’Université d’optique de Rochester (Etats-Unis), avait déjà réussi à altérer la surface de différents métaux pour leur donner un aspect noir. En forçant la dose il estime qu’il est possible de modifier les propriétés de n’importe quel métal afin de lui donner la couleur de son choix y compris des teintes irisées semblables aux ailes des papillons.
Pour parvenir à cette prouesse, son équipe a employé un laser femtoseconde (10 –15s) qui projette sur la paroi métallique un bref mais incroyablement intense flash lumineux : chaque impulsion génère autant d’énergie que l’ensemble du réseau électrique d’Amérique du Nord, le tout centré sur une surface de la taille d’une aiguille. Les forces en jeu sont telles qu’elles modifient la surface du métal en formant des structures nanométriques et sélectives qui reflètent une certaine longueur d’onde de la lumière donnant ainsi l’apparence d’une couleur. Pour l’aspect irisé c’est un peu plus compliqué puisqu’il faut tracer des micro-lignes couvertes d’éléments nanométriques, chaque trait renvoyant une couleur différente.
Les applications de cette découverte sont nombreuses : cellules photovoltaïques en métal noir absorbant, technologies furtives, bijouterie…A l’heure actuelle le temps de traitement est trop long (environ 30 minutes pour une pièce de monnaie) pour envisager une exploitation industrielle mais les chercheurs espèrent rapidement pouvoir améliorer la technique.
trop fort nn ??
b9aw darbou temma . =P
Bon , Il y a un an et en utilisant aussi un laser, Chunlei Guo, chercheur à l’Université d’optique de Rochester (Etats-Unis), avait déjà réussi à altérer la surface de différents métaux pour leur donner un aspect noir. En forçant la dose il estime qu’il est possible de modifier les propriétés de n’importe quel métal afin de lui donner la couleur de son choix y compris des teintes irisées semblables aux ailes des papillons.
Pour parvenir à cette prouesse, son équipe a employé un laser femtoseconde (10 –15s) qui projette sur la paroi métallique un bref mais incroyablement intense flash lumineux : chaque impulsion génère autant d’énergie que l’ensemble du réseau électrique d’Amérique du Nord, le tout centré sur une surface de la taille d’une aiguille. Les forces en jeu sont telles qu’elles modifient la surface du métal en formant des structures nanométriques et sélectives qui reflètent une certaine longueur d’onde de la lumière donnant ainsi l’apparence d’une couleur. Pour l’aspect irisé c’est un peu plus compliqué puisqu’il faut tracer des micro-lignes couvertes d’éléments nanométriques, chaque trait renvoyant une couleur différente.
Les applications de cette découverte sont nombreuses : cellules photovoltaïques en métal noir absorbant, technologies furtives, bijouterie…A l’heure actuelle le temps de traitement est trop long (environ 30 minutes pour une pièce de monnaie) pour envisager une exploitation industrielle mais les chercheurs espèrent rapidement pouvoir améliorer la technique.
trop fort nn ??
e-m-y21- actif
- Messages : 35
Date d'inscription : 08/02/2008
Re: sciences ??
oui bravo e-m-y tres tres iimportant merciiiiiiiiiiiiiiii pour les infos
c'est ttres tres interessants
c'est ttres tres interessants
sciences
merci bcp brahim , voila jai trouvé un autre truc vraiment intéressent c sur la schizophrénie ::
Les personnes souffrant de cette grave maladie mentale ont trois à quatre fois plus d'anomalies génétiques rares que les personnes saines, et ces mutations affectent davantage les gènes régulant le fonctionnement du cerveau.
Ces dysfonctionnements peuvent consister en la suppression ou au contraire en la duplication de chaînons d'ADN et diffèrent selon les patients, de sorte que les empreintes génétiques de la maladie sont uniques pour chaque individu.
«Nous supposons que la plupart des personnes souffrant de schizophrénie ont (cette maladie pour) une raison génétique différente», a dit Mary-Claire King, professeur des sciences du génome à l'Université de l'État de Washington à Seattle, qui a collaboré à cette étude.
La schizophrénie est une maladie mentale chronique qui affecte 1% de la population. Les malades souffrent d'hallucinations, d'illusions, de sentiments de persécution et de pensées désorganisées. Certains de ces symptômes peuvent être traités avec des neuroleptiques mais ne peuvent pas être guéris.
Les précédentes études établissaient que l'origine de la maladie était liée à un ensemble de mutations génétiques courantes.
Mais cette nouvelle étude suggère que la signature génétique de la schizophrénie, tout comme l'autisme, est plus complexe que cela et implique des des dizaines voire des centaines de gènes, dont le fonctionnement a été interrompu par des duplications ou des suppressions dans l'ADN.
Les chercheurs de l'Université de Washington, du laboratoire Cold Spring Harbour de New York et des Instituts nationaux de la santé (NIH) ont étudié un échantillon relativement modeste de 150 patients souffrant de schizophrénie et de 268 personnes en bonne santé.
L'étude a montré que 24 gènes différents étaient impliqués dans la maladie et pourtant chaque mutation était différente, ce qui montre que l'étude d'un échantillon plus important ferait ressortir un nombre de gènes encore supérieur.
Les chercheurs ne se sont intéressés qu'aux anomalies rares, plus nombreuses chez les malades et touchant davantage les gènes affectant la communication entre les cellules cérébrales.
15% des patients ayant développé la maladie à l'âge adulte présentaient ces variations d'ADN rares, contre 5% dans l'échantillon sain. Ce taux était de 20% chez les personnes malades depuis leur enfance.
«Identifier les gènes susceptibles de présenter ces mutations dans le processus de développement cérébral est prometteur pour le traitement et la prévention de la schizophrénie, ainsi que pour un large éventail de désordres du développement neuronal», a estimé Thomas Insel, directeur de l'Institut national pour la santé mentale.
Les personnes souffrant de cette grave maladie mentale ont trois à quatre fois plus d'anomalies génétiques rares que les personnes saines, et ces mutations affectent davantage les gènes régulant le fonctionnement du cerveau.
Ces dysfonctionnements peuvent consister en la suppression ou au contraire en la duplication de chaînons d'ADN et diffèrent selon les patients, de sorte que les empreintes génétiques de la maladie sont uniques pour chaque individu.
«Nous supposons que la plupart des personnes souffrant de schizophrénie ont (cette maladie pour) une raison génétique différente», a dit Mary-Claire King, professeur des sciences du génome à l'Université de l'État de Washington à Seattle, qui a collaboré à cette étude.
La schizophrénie est une maladie mentale chronique qui affecte 1% de la population. Les malades souffrent d'hallucinations, d'illusions, de sentiments de persécution et de pensées désorganisées. Certains de ces symptômes peuvent être traités avec des neuroleptiques mais ne peuvent pas être guéris.
Les précédentes études établissaient que l'origine de la maladie était liée à un ensemble de mutations génétiques courantes.
Mais cette nouvelle étude suggère que la signature génétique de la schizophrénie, tout comme l'autisme, est plus complexe que cela et implique des des dizaines voire des centaines de gènes, dont le fonctionnement a été interrompu par des duplications ou des suppressions dans l'ADN.
Les chercheurs de l'Université de Washington, du laboratoire Cold Spring Harbour de New York et des Instituts nationaux de la santé (NIH) ont étudié un échantillon relativement modeste de 150 patients souffrant de schizophrénie et de 268 personnes en bonne santé.
L'étude a montré que 24 gènes différents étaient impliqués dans la maladie et pourtant chaque mutation était différente, ce qui montre que l'étude d'un échantillon plus important ferait ressortir un nombre de gènes encore supérieur.
Les chercheurs ne se sont intéressés qu'aux anomalies rares, plus nombreuses chez les malades et touchant davantage les gènes affectant la communication entre les cellules cérébrales.
15% des patients ayant développé la maladie à l'âge adulte présentaient ces variations d'ADN rares, contre 5% dans l'échantillon sain. Ce taux était de 20% chez les personnes malades depuis leur enfance.
«Identifier les gènes susceptibles de présenter ces mutations dans le processus de développement cérébral est prometteur pour le traitement et la prévention de la schizophrénie, ainsi que pour un large éventail de désordres du développement neuronal», a estimé Thomas Insel, directeur de l'Institut national pour la santé mentale.
e-m-y21- actif
- Messages : 35
Date d'inscription : 08/02/2008
Re: sciences ??
MERCI bcp imane des infos que tu nous donnes
mais j'ai une petite remarque : ce serai mieux de faire un nouveau sujet a part de faire un sujet dans une reponses pour augmanter le nombre de sujet dans le forum science
et merciiiiiiii bcp
mais j'ai une petite remarque : ce serai mieux de faire un nouveau sujet a part de faire un sujet dans une reponses pour augmanter le nombre de sujet dans le forum science
et merciiiiiiii bcp
:shock:
Les inscrits ne sont que des scientifiques et la rubrique science 'KATNéCH DéBAN' !!!! [u]
mood_injoy- BZIWIT
- Messages : 6
Date d'inscription : 15/05/2008
Re: sciences ??
voila alors ::La vie rajeunit
Nouvelles découvertes dans les stromatolithes de Shark Bay en Australie. Ces roches formées par des processus biologiques contiennent des traces d’une grande variété de microbes, témoins d’une grande diversité de la vie dès son origine.
Stromatolithes dans la réserve naturelle marine de Hamelin Pool (Shark Bay, Australie).
Stromatolithes dans la réserve naturelle marine de Hamelin Pool (Shark Bay, Australie). Paul Harrison
Les stromatolites sont des roches carbonatées formées de feuillets superposés et se développant en forme de boule ou de chou-fleur. Pendant longtemps les scientifiques se sont interrogés sur leur nature jusqu’à ce qu’ils découvrent des systèmes encore actifs, les plus célèbres sont dans la Baie des requins, en Australie. Leur analyse a convaincu les géologues que les feuillets minéraux structurant les stromatolithes se sont lentement créés au fil du développement des colonies microbiennes (de cyanobactéries le plus souvent) en couches successives.
Aujourd’hui, des chercheurs du Centre australien d’astrobiologie révèlent avoir découvert, en utilisant des techniques moléculaires, des traces génétiques de plus d’une centaine de microbes différents dans les stromatolithes, là où ils pensaient en trouver une dizaine tout au plus. Selon eux, pour atteindre une telle complexité la vie a du débuter bien avant l’apparition de ces structures dont les plus vieilles ont près de quatre milliards d’années.
Nouvelles découvertes dans les stromatolithes de Shark Bay en Australie. Ces roches formées par des processus biologiques contiennent des traces d’une grande variété de microbes, témoins d’une grande diversité de la vie dès son origine.
Stromatolithes dans la réserve naturelle marine de Hamelin Pool (Shark Bay, Australie).
Stromatolithes dans la réserve naturelle marine de Hamelin Pool (Shark Bay, Australie). Paul Harrison
Les stromatolites sont des roches carbonatées formées de feuillets superposés et se développant en forme de boule ou de chou-fleur. Pendant longtemps les scientifiques se sont interrogés sur leur nature jusqu’à ce qu’ils découvrent des systèmes encore actifs, les plus célèbres sont dans la Baie des requins, en Australie. Leur analyse a convaincu les géologues que les feuillets minéraux structurant les stromatolithes se sont lentement créés au fil du développement des colonies microbiennes (de cyanobactéries le plus souvent) en couches successives.
Aujourd’hui, des chercheurs du Centre australien d’astrobiologie révèlent avoir découvert, en utilisant des techniques moléculaires, des traces génétiques de plus d’une centaine de microbes différents dans les stromatolithes, là où ils pensaient en trouver une dizaine tout au plus. Selon eux, pour atteindre une telle complexité la vie a du débuter bien avant l’apparition de ces structures dont les plus vieilles ont près de quatre milliards d’années.
e-m-y21- actif
- Messages : 35
Date d'inscription : 08/02/2008
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5/7/2008, 10:24 par toutrien
» ca vous concerne entreezzzzzzz viiiiiiiiiite!!!!!!!!!!!
11/6/2008, 14:27 par e-m-y21
» Les miracles scientifiques du Coran
11/6/2008, 14:22 par e-m-y21
» enigme
11/6/2008, 14:19 par e-m-y21
» cultures
11/6/2008, 14:14 par e-m-y21
» sciences ??
11/6/2008, 13:53 par e-m-y21
» ca nous laisse reflechir
11/6/2008, 13:40 par e-m-y21
» vive le maroc
11/6/2008, 13:17 par e-m-y21
» t'es ou ?????
11/6/2008, 13:03 par e-m-y21